Avant, les sportives d’Afghanistan pouvaient pratiquer leur discipline sans restriction.

Avant les filles allaient à l’école ou à l’université.

Avant, les vitrines scintillaient de mille feux, la tête des mannequins n’était pas recouverte voire supprimée.

Avant, malgré la violence et les difficultés du quotidien, une brise de liberté se propageait à travers les villes.

Avant le 15 août 2021, date de la prise de contrôle du pays par les Talibans, l’espoir n’était pas mort.

Depuis deux ans, les femmes d’Afghanistan font l’objet d’une oppression sans équivalent dans l’ère moderne.
Et résistent. Et refusent de s’effacer.

Des athlètes ont posé avec l’objet qui incarne leur discipline. Quel panache !