« Le ministère de la Femme, je l’éliminerai. Je ne m’excuserai pas d’avoir un pénis. »
Élu pour les 4 prochaines années à 55,6 % des voix, le candidat d’extrême droite Javier Milei cumule les positions radicales et polémiques.
Javier Milei promet de faire disparaître le ministère en charge du droit des femmes et s’oppose à l’avortement, légal en Argentine depuis 2020. « Ce n’est pas un droit acquis ».
Sa mesure phare, l’assèchement de la dépense publique argentine, en les coupant « à la tronçonneuse ».
Il nie les inégalités et les violences de genre, affirme que le « plafond de verre » n’existe pas, que les hommes et les femmes ont accès aux mêmes emplois et sont payés de la même manière.
Avec l’arrivée de cet homme au pouvoir, les droits des femmes, de la communauté LGBT et de l’éducation sexuelle à l’école sont directement menacés.
Javier Milei, une menace pour le droit des femmes
« El loco » élu président de l’Argentine.
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