« La Chimère » d’Alice Rohrwacher
Arthur à un don qu’il met au service de ses amis Tombaroli (pilleurs de tombes) : il ressent le vide. Il poursuit sa chimère sans jamais parvenir à la saisir, habité par la douleur qu’a laissé en lui son amour perdu, Beniamina.
Alice Rohrwacher, réalisatrice italienne, aime ceux qui vivent en marge et s’arrangent avec l’existence, sans pour autant les idéaliser. C’est cette idée que l’on retrouve dans « La chimère », qui sortira au cinéma mercredi prochain !
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Lili Reynaud-Dewar : « Salut, je m’appelle Lili et nous sommes plusieurs »
La plasticienne et performeuse française souhaitait avec cette exposition parler de la manière dont elle travaille, c’est-à-dire avec beaucoup de personnes qui l’entourent, d’où le nom de l’exposition. Elle y interroge la fonction d’artiste, une activité « aux contours flous ».
« Au tout début de mon travail, j’ai beaucoup fait performer des proches. À un moment je me suis sentie le devoir de me mettre aussi en face du public et de la caméra. » L’exposition se divise en deux parties et doit se lire comme un journal.
À découvrir jusqu’au 7 janvier 2024 au Palais de Tokyo !
Cinq ans après la sortie de son premier album, Tkay Maidza sort «Sweet Justice», un album qu’elle qualifie de « thérapeutique ».
« C’était une façon pour moi de canaliser mes émotions de ce que j’ai vécu au cours des deux dernières années ».
La musicienne est née au Zimbabwe, élevée en Australie et basée à Los Angeles. Elle compose depuis son adolescence une musique dite « iconoclaste », en opposition à toute tradition.
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